QUARTIERS POPULAIRES Rien n’est simple. L’ANRU devait donner un formidable coup d’accélérateur à la deuxième rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre et des Abymes. À Bergevin et à Henri IV on est sur les rails d’une vraie réussite. À Lauricisque et à Grand-Camp cela cale quelque peu. le 15 février 2005, date de la signature de la première convention RUPAP, l’ANRU a été à la fois un catalyseur et l’espoir de voir une grande partie de la première rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre (Henri IV, Bergevin, Lauricisque)– cruellement en bout de vie tant certains immeubles criaient misère — profiter d’un…

Purchase Required

Cet article est en accès personnel, réservé aux acheteurs et abonnés.

J’achèteJe m’abonneJe me connecte

Already a member? Log in here